mardi 30 novembre 2010

L'homéopathie : le secret d'un grossesse zen?

Aujourd'hui, une petite pensée pour les futures mamans en quête de remèdes pour lutter contre les petits maux de la grossesse. Car oui, être enceinte n'est pas une maladie, mais soyons honnêtes, ce n'est pas non plus toujours une partie de plaisir... Nausées, troubles digestifs,angoisses, maux de tête et de dos peuvent empoissonner le quotidien et on ne sait pas toujours comment se soigner, de peur de mettre Bébé en danger.  
Et si la solution s'appelait homéopathie? Placebo ou remède miracle? Un point sur la médecine douce préférée des Français.

La plupart des médicaments étant contre-indiqués chez la femme enceinte, l'homéopathie est souvent envisagée comme une alternative thérapeutique intéressante, même si quelques fidèles détracteurs continuent de remettre en cause son efficacité scientifique. Toutefois, une chose est prouvée : les remèdes homéopathiques, issus de produits naturels (végétaux, animaux et minéraux), ne sont aucunement toxiques pour le fœtus, sont dépourvus d'effets secondaires et ne provoquent pas d'accoutumance . Alors pourquoi ne pas tenter? Petite synthèse des promesses de l'homéopathie :

Soulager certains maux de la grossesse

L'homéopathie pourrait traiter plusieurs soucis fréquents chez la femme enceinte : les troubles digestifs (nausées et brûlures d'estomac), les gênes urinaires, l'insuffisance veineuse (jambes lourdes, varices, hémorroïdes), les crampes, les douleurs mécaniques (lombalgies, sciatiques, pathologies tendineuses ou ligamentaires…), les troubles du sommeil et le stress.
Toutefois, certains symptômes survenant pendant la grossesse peuvent correspondre à des pathologies potentiellement graves (infection, hypertension…) qui nécessitent un traitement allopathique (médecine traditionnelle) et pour lesquelles l'homéopathie ne suffirait pas. Et bien entendu, les consultations avec un homéopathe ne doivent pas dispenser d'un suivi obstétrical régulier.
Avant l'accouchement

Le traitement homéopathique, prescrit en fin de grossesse, permettrait d'assouplir le col de l'utérus, de faciliter sa dilatation et de réduire le temps de travail.
Bien sûr, il ne remplace pas les séances traditionnelles de "préparation à la naissance" réalisées par la sage-femme ou le gynécologue.

Après la naissance

L'homéopathie soulagerait les tranchées utérines (contractions douloureuses survenant après l'accouchement) et agirait sur les douleurs périnéales résiduelles, survenant généralement après une césarienne ou un accouchement difficile.
D'autres maux fréquents pourraient également être soulagés par un traitement homéopathique : par exemple, les troubles veineux, les gênes urinaires, la fatigue ou même le "baby blues". L'homéopathie permettrait aussi de diminuer les douleurs de la montée laiteuse en cas d'allaitement.

Une médecine "sur mesure"

On parle souvent de l'homéopathie comme d'une médecine sur mesure. Il est donc conseillé de prendre le temps d'observer tous ses symptômes avant de prendre rendez-vous chez un homéopathe. Plus on donne de détails au médecin, plus la prescription sera adaptée. Par exemple les nausées ne seront pas traitées de la même façon  en fonction de la manière et des moments de la journée où elles surviennent. De plus, même s'il s'agit d'une médecine douce, cela ne signifie pas qu'il faut y avoir recours à tout va! Donc pas d'automédication et toujours penser à demander l'avis d'un médecin... voilà pour le conseil de fin.

Je ne sais pas pour vous mais moi, je trouve que ça donne envie d'y croire, non? Et ce n'est pas Florence Foresti qui ma contredire...
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